Avec mes santiags je fais régner la terreur dans tout l'appartement: Une fresque sociale en couleurs

Comme vous le savez la semaine dernière je suis allée faire mon shpoping dans les enseignes branchées de la ville. Par exemple je suis allée dans un hangar transformé en showroom où on trouve entre autres des pièces vintage, c'est un concept qui vient de Californie.

 Je suis encore plus belle en vrai. (Je n'ai jamais fait d'école d'art, j'exerce en autodidacte. C'est même mon premier dessin sur la tablette mais je maitrise déjà l'intensité des couleurs c'est tellement chatoyant. )

Bon en entrant dans le magasin qu'est-ce que je vois?

Et hop en quelques coups de crayons rageurs la botte est croquée! Non je blague j'ai passé au moins 24 heures à dessiner cette botte j'espère que vous êtes éblouis. Par contre après j'avais la flemme de dessiner la deuxième mais de toute manière c'est la même.

 Il y avait tant d'arguments pour ne pas les prendre mais j'ai décidé de faire fi des codes de la société.

    Il fallait absolument que je les achète, un peu comme dans le Tellement vrai sur les fous dépensiers avec la martiniquaise qui devait absolument acheter tous les escarpins chinois en plastoc qu'elle voit sinon elle fait une crise de stress alala qu'est-ce qu'on a ri ce jour là.

Bref j'ai acheté les santiags à 4 euros et depuis je suis heureuse même si je ne les porte que pour rester chez moi c'est-à-dire tout le temps en fait car je n'ai pas de vie sociale.

FIN