jeudi 27 janvier 2011

Leçon de vie n°1: ne pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué

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     En rangeant mes CDs (ma passion) je me suis rendu compte que je remettais jamais le bon CD dans le bon boîtier. Ah non, ça je le savais déjà en fait.
    Cela faisant, j'ai écouté Jazzmatazz vol.I en boucle tout l'aprem (j'espère que mes voisins aiment bien).  Pour moi c'est sans doute le vol.I le meilleur, et ensuite le II, mais la différence entre les deux n'est pas si énorme. Les suivants sont nettement moins jazz, un peu comme si on avait un peu zappé la démarche initiale. Pas non plus mauvais mais beaucoup plus R&B, avec des choeurs et des samples souvent pas hyper originaux. 
   (En fouinant je suis tombée sur l'affiche de ce concert de 2009 qui devait être franchement chouettos, surtout avec Bibi Tanga en première partie, pas bidon. C'était sans doute le dernier concert de Guru à Paris, mais il devait déjà être assez affaibli)
    
     Ce que que j'ai fait, c'est classer à titre expérimental les albums (j'adore repousser les limites et franchir les barrières des modes de classement) selon la couleur de peau des artistes (ambiance ségrégation very South Africa des 80's). D'un côté les blancs, de l'autre les noirs, bam(les individus qui étaient entre deux eaux ont été assimilés à des noirs). Je m'attendais à une supériorité numérique écrasante de la part des noirs. Et bien pas tellement en fait, ils étaient seulement 4 de plus que les blancs.
 Cette étude nous montre que j'aime tout le monde, et aussi qu'il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué. 
   Voilà donc par exemple quelqu'un de très bien vivant dans ma discothèque:
    

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